Anciennement, les bureaux de la CAPAC avaient été aménagés dans des volumes annexés à l’arrière du corps de bâtiment principal de l’ancien hôtel de maître dont la construction est estimée à 1751 suivant la date figurant sur le fronton de la travée centrale de la façade.
La parcelle était bâtie sur l’ensemble de sa surface, n’offrant aucune ouverture sur l’extérieur pour les bureaux, excepté en façade à rue et quelques lanterneaux en toiture dont la dimension et le nombre n’apportaient pas un éclairage naturel suffisant. L’utilisation permanente d’un éclairage artificiel était nécessaire, ce qui rendait les lieux particulièrement sombres et peu agréable.
Parmi les annexes arrières occupées, un ancien entrepôt dont la toiture était composée de plaques ondulées en asbeste ciment sans isolation, posées sur une charpente métallique vétuste, reliait le corps de bâtiment principal aux volumes en bout de parcelle dont la toiture en zinc était plus récente.
Outre les problèmes d’inconfort, les bureaux dont les aménagements complètement dépassés n’étaient plus aux normes, devaient impérativement faire l’objet d’une opération de rénovation.
La parcelle était bâtie sur l’ensemble de sa surface, n’offrant aucune ouverture sur l’extérieur pour les bureaux, excepté en façade à rue et quelques lanterneaux en toiture dont la dimension et le nombre n’apportaient pas un éclairage naturel suffisant. L’utilisation permanente d’un éclairage artificiel était nécessaire, ce qui rendait les lieux particulièrement sombres et peu agréable.
Parmi les annexes arrières occupées, un ancien entrepôt dont la toiture était composée de plaques ondulées en asbeste ciment sans isolation, posées sur une charpente métallique vétuste, reliait le corps de bâtiment principal aux volumes en bout de parcelle dont la toiture en zinc était plus récente.
Outre les problèmes d’inconfort, les bureaux dont les aménagements complètement dépassés n’étaient plus aux normes, devaient impérativement faire l’objet d’une opération de rénovation.